Glacé, Bernard Minier
Glacé, Bernard Minier, paru aux éditions XO en Février 2011 puis en poche le 10 Mai 2012, 725 pages.
C’est le premier roman de Bernard Minier qui a reçu le prix du meilleur roman francophone au Festival polar de Cognac.
Je découvre un peu tardivement cet auteur à succès qui a écrit quatre romans et dont mes lecteurs ne me disent que du bien.
Je découvre un peu tardivement cet auteur à succès qui a écrit quatre romans et dont mes lecteurs ne me disent que du bien.
Mon résumé :
Dans une vallée de Pyrénées en plein hiver neigeux, au petit matin, des ouvriers de la centrale hydroélectrique retrouvent le corps d’un cheval sans tête suspendu à la falaise. Cette vision a de quoi détoner dans cet univers de blanc vêtu. De plus, cet acte nécessite une préparation et une force physique. C’est tout sauf anodin. Pourquoi se donner tant de mal pour mettre en scène un cheval mort ?
Ce sera le casse-tête du commandant Martin Servaz à qui on confie cette drôle d’enquête sur un animal. Mais il s’agit d’un cheval VIP. Et ce n’est qu’un début. L’affaire se corse encore lorsque l’ADN d’un psychopathe enfermé en asile psychiatrique est retrouvé sur une scène de crime.
Dans cet institut où de drôles de choses semblent se dérouler, une jeune psychologue, Diane, prend ses services avec autant de curiosité que d’appréhension. L’endroit est proprement effrayant.
Dans une ambiance de grand froid, Servaz, personnage charismatique à la forme physique toute relative, érudit, solitaire va affronter une énigme des plus complexes, l’enquête la plus dangereuse de toute sa vie…
Ce sera le casse-tête du commandant Martin Servaz à qui on confie cette drôle d’enquête sur un animal. Mais il s’agit d’un cheval VIP. Et ce n’est qu’un début. L’affaire se corse encore lorsque l’ADN d’un psychopathe enfermé en asile psychiatrique est retrouvé sur une scène de crime.
Dans cet institut où de drôles de choses semblent se dérouler, une jeune psychologue, Diane, prend ses services avec autant de curiosité que d’appréhension. L’endroit est proprement effrayant.
Dans une ambiance de grand froid, Servaz, personnage charismatique à la forme physique toute relative, érudit, solitaire va affronter une énigme des plus complexes, l’enquête la plus dangereuse de toute sa vie…
Mon avis sur le roman de Bernard Minier :
Précipitez-vous sur ce Glacé ! C’est délectable. Tout y est : des personnages consistants, attachants, terriblement humains (d’autres carrément inhumains !), une intrigue au cordeau, un paysage grandiose qui contribue à une ambiance glaçante, neigeuse (comme je les aime!) et un fond très documenté sur les maladies psychiatriques. Et en bonus : des citations latines pour cultiver une forme d’érudition quelque peu délaissée. Minier a révisé son sujet.
Si le rythme peut paraître lent au début, les chapitres s’accélèrent par la suite et la tension monte sans fin jusqu’aux dernières pages !
Si vous avez aimé Puzzle de Thilliez avec son complexe psychiatrique à l’abandon, cet aspect-là du roman Glacé vous plaira aussi.
Je me suis régalée ! Et ce qui tombe bien, c’est qu’il en a écrit trois autres à ce jour.
Si le rythme peut paraître lent au début, les chapitres s’accélèrent par la suite et la tension monte sans fin jusqu’aux dernières pages !
Si vous avez aimé Puzzle de Thilliez avec son complexe psychiatrique à l’abandon, cet aspect-là du roman Glacé vous plaira aussi.
Je me suis régalée ! Et ce qui tombe bien, c’est qu’il en a écrit trois autres à ce jour.
Un extrait de Glacé à déguster frappé bien évidemment :
« Le mauvais pressentiment qu’avait Servaz depuis le début se répandait à présent comme un nuage toxique. Jusque-là, ils n’avaient qu’une histoire bizarre – la mort d’un cheval dans des circonstances insolites – qui n’aurait jamais pris de telles proportions si, au lieu d’un milliardaire, le propriétaire de l’animal avait été un fermier du coin. Et voilà qu’elle se trouvait reliée – sans qu’il pût comprendre ni comment ni pourquoi – à l’un des plus redoutables tueurs de l’ère moderne. Servaz avait tout à coup l’impression de se retrouver devant un long couloir plein de portes closes. Chacune cachait un aspect insoupçonné et inquiétant de l’enquête. Il redoutait de s’engager dans ce couloir et de les pousser. Dans son esprit, le couloir était bizarrement éclairé par une lampe rouge – rouge comme le sang, rouge comme la fureur, rouge comme un cœur qui bat. Tandis qu’il s’aspergeait le visage à l’eau froide, un nœud d’angoisse au ventre, il acquit la certitude que de nombreuses portes allaient bientôt s’ouvrir – révélant des pièces toutes plus obscures et sinistres les unes que les autres.
Ce n’était qu’un début…«
Ce n’était qu’un début…«
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